Retour
J’ai
maudit la pluie pour le rêve chassé,
Les
yeux endormis cherchaient vos cheveux,
votre
sourire,
insouciance
de pas.
Ton
ombre se fondait dans la nuit retardée.
Je
t’ai cherché partout suivant les traces
de la vie,
Quelque
part tu es perdue,...
Où?...
Peut-être
dans ma nostalgie
te
refuge silencieuse.
Apocalypse
Pour
le cœur,
coururent
partout les mauvais augures…
mais
jamais ces malheureux
ne
l’arrachèrent pas de l’âme.
Impardonnable
Vagues
écumes,
sur
la belle rive
aux
horizons se brisent,
cheveux
blancs s’arrachent,
aux
égouts profonds se perdent.
Le
délire de la paix par-delà de l’azur
ironise
la frivolité séculaire
et
pardonne l’entêtement modern !
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